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Historique juin 2005 -> 29 mars 2012 Juin 2005
Carmela L.G., fonctionnaire européenne et propriétaire de l’hôtel de passe 'Studio Europe' intente un procès au Comité Alhambra.
Nous ne savions pas qui elle était, Carmela L.G., fonctionnaire européenne et propriétaire de l’hôtel de passe 'Studio Europe' dans la rue des Commerçants, à Bruxelles centre, lorsque le 4 mai 2005 accompagnée de son ami A.M. et de son associé en affaires Georges T. vinrent perturber la réunion du Comité Alhambra au KVS.
Le trio a acheté en octobre 2005 le complexe des bâtiments pour 1 million d’euro à Etienne V.T., propriétaire de plusieurs biens dans le quartier Alhambra qu’il exploite officiellement comme chambre d’étudiants mais qui en pratique abritent bien peu d’étudiants….
Madame L.G., Ali A.M. et Georges T. ne sont officiellement pas exploitants de l’hôtel, mais on peut les y contacter quotidiennement. Souvent ils garent leur véhicule muni d’une plaque d’immatriculation EU dans le garage de l’immeuble. Il est plus qu’évident qu’ils gagnent de l’argent officieusement grâce à la prostitution, ce qui est en opposition avec le règlement de travail des communautés européennes qui interdit explicitement de cumuler toute activité annexe. Ils ont érigé une SPRL au nom de Ali A.M., partenaire de Carmela L.G., qui gère l’exploitation de cet hôtel de passe 'Studio Europe'. Carmela L.G. tient ainsi fermement les ficelles en main.
Carmela L.G., Ali A.M., Georges T. et Etienne V.T. pendant la réunion à la KVS
Le 4 mai 2005 le comité Alhambra s’est réuni pour son assemblée bi-annuelle d’information aux riverains à la KVS. Il y avait beaucoup de monde. Carmela L.G., Ali A.M., Georges T. et Etienne V.T. ont pris place à l’arrière de la salle. Dès l’ouverture de la séance, après que quelques membres du Comité Alhambra eurent souhaité la bienvenue, le trio s’est levé, et a submergé les membres de questions.
Très vite le ton est devenu agressif. Ils ont averti les personnes présentes que 'si elles continuaient à s’opposer à la prostitution de rue, elles auraient à le regretter' et qu’ils 'reconnaîtraient les visages' et 'les noms sur les sonnettes'.
Malgré cela, les membres du Comité Alhambra ont fait connaître leur identité et leur fonction et ont essayé en toute sérénité de répondre aux questions posées.
Il est vite apparu que l’unique motivation de Carmela L.G., Ali A.M. et Georges T. était de saboter cette réunion et d’intimider les personnes qui y assistaient. Ils ne laissaient aucune place aux réponses. De plus toutes les informations étaient faciles à trouver sur le site web du Comité Alhambra.
Quelques riverains, surtout ceux avec des enfants, ont quitté la salle. La discussion entre le trio et les autres auditeurs escalada.
Le trio a par la suite porté plainte auprès de la police contre le Comité. Ils affirment qu’ils n’ont pas reçu d’invitation pour cette séance d’information, que le Comité ne défend pas leurs intérêts d’habitants et de commerçants, et serait donc sélectif.
Il est évident que leurs griefs n’ont pas de fondements. Chaque habitant du quartier reçoit une invitation dans sa boîte aux lettres, ou peut trouver par soi-même les dates des réunions d’information sur le site web du Comité Alhambra. De plus nous n’avons jamais caché que nous avons parmi nos buts principaux celui de lutter contre le racolage qui cause des nuisances multiples dans le quartier. Nous ne voulons donc pas prendre le parti d’exploitants d’hôtels de passe et ne le ferons jamais. Ils travaillent auprès de la communauté européenne et habitent dans des quartiers huppés de la périphérie de Bruxelles loin de toutes les nuisances qu’ils contribuent à exister.
Vous pouvez constater que la plainte de Carmela L.G., Ali A.M. et Geoges T. est le mode à l’envers. Cela traduit une mentalité avec laquelle les habitants du Quartier Alhambra sont confrontés depuis des années. Pour les membres du Comité Alhambra, qui sont des gens bénévoles qui donnent de leur temps afin d’obtenir un quartier viable, l’expérience est des plus pénibles. Ils doivent à nouveau se justifier pour ce qui devrait sembler évident: la prostitution de rue et le racolage dans un quartier résidentiel n’est pas compatible. C’est beaucoup plus que de la simple surcharge de bruit. Nous sommes confrontés avec des individus sans scrupules qui ne pensent qu’à une chose: se faire plus d’argent. Jusqu’à présent le politiques se sont peu intéressés au problème de la prostitution dans le quartier Alhambra .C’est démotivant, et c’est précisément ce que Carmela L.G., Ali A.M. et Geoges T. veulent exploiter. Ils veulent faire du quartier Alhambra une zone de tolérance pour la prostitution où les habitants doivent apprendre à fermer leur bouche. Leurs intimidations ne laissèrent aucun doute à ce sujet.
Auprès de la commission européenne une procédure disciplinaire est en cours contre Carmela L. G.; durant la période qui précéda immédiatement l’achat du 'Studio Europe' elle a été en congé de maladie (payé) durant cinq mois, et a reçu en ce sens une évaluation négative. Elle a trouvé cela injuste et a introduit une protestation aussitôt.
Février 2007
Un certain nombre de riverains constatent que 'Studio Europe' aménage au moins une nouvelle chambre. On place aussi huit panneaux solaires afin de pourvoir les nombreuses douches d’eau chaude (probablement financé par des instances officielles). Ils investissent donc sérieusement à l’extension de leur hôtel de passe malgré la taxe.
Studio Europe fut il y a quelques années acheté par une eurocrate Carmela L.G., et est exploité par son partenaire Ali A.M. et son associé en affaires Georges T.
Ils refusent de payer la taxe sur les hôtels de passe et ont assigné la ville de Bruxelles devant la justice. Carmela L.G. veut aussi intenter un procès contre le Comité Alhambra.
Le propriétaire d’origine du 'Studio Europe', monsieur V.T., a en 1992 obtenu des services de l’urbanisme un permis de transformation des maisons existantes en hôtel. Auparavant il n’y avait pas d’hôtels de passe dans la rue des Commerçants.
Janvier 2008
Lettre à bourgmestre Thielemans: L’ancienne présidente du comité Alhambra est appelée devant la justice par l’Eurocrate et l’exploitante de l’hôtel de passe Studio Europe Carmela L.G. Plus >>>
25 avril 2011
Session de l’affaire judiciaire qui oppose les tenanciers d’un hôtel de passe au Comité Alhambra.
17 mai 2011
Session de l’affaire judiciaire qui oppose les tenanciers d’un hôtel de passe au Comité Alhambra.
29 mars 2012
Madame Carmela L.G. continue de faire appeler diverses personnes devant le tribunal. Souvent il s’agit de personnes qui ne sont pas membres du Comité Alhambra et qui ne l’ont jamais été. Le but de ce procès reste peu clair pour nous. C’est Carmela L.G. et ses partenaires qui ont perturbé une des réunions d’information publique du Comité de quartier à la K.V.S.
Media:
Telegraph.co.uk - 25/09/05 EU staff may face the sack over their bit on the side - a Brussels 'red light' hotel 'A sex hotel owned by two European Commission employees has caused intense embarrassment for the Brussels authorities, who were unaware of the pair's outside business interests ...'
De Morgen - 18/06/05 : 'Hoezo, een wijkfeest? En de mensenhandel dan?' 'Zondag is er een buurtfeest rond de Koninklijke Vlaamse Schouwburg. Slechte zaak, vinden de eigenaars van het afwerkhotel Studio Europe ...'
De Morgen - 14/05/05 : 'Europese ambtenaren hebben banden met prostitutiehotel' 'De wijk rondt de KVS wordt al jaren geteisterd door straatprostitutie ...'
Carmela lo Giudice, Georges Tzikis, Ali Akhun Moiz, Carmela lo Giudice, Georges Tzikis, Ali Akhun Moiz, Carmela lo Giudice, Georges Tzikis, Ali Akhun Moiz, Carmela Lo Giudice, Georges Tzikis, Ali Akhun Moiz, Carmela Lo Giudice, Georges Tzikis, Ali Akhun Moiz, |
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